Notre Galerie

Rouge comme un cri dans le silence,

jaune comme un éclat de soleil,

il porte les couleurs du vivant

avec la grâce de ceux qui n’en font pas trop.

Perché sur une branche en éveil,

il incarne la beauté qui persiste,

même dans les jours les plus simples.

Il se penche sans bruit,

et découvre son double dans l’onde.

Bleu comme le ciel, orange comme la terre,

il unit les éléments dans un instant suspendu.

Le reflet ne ment pas,

il révèle ce que l’œil oublie :

la beauté est partout,

même dans ce qui n’est qu’un murmure.

Il lève les yeux,

comme on lève le cœur.

Son corps est humble,

mais son regard porte loin.

C'est une prière silencieuse,

un hommage à ceux qui, même petits,

cherchent toujours la clarté.

Il défie la gravité,

suspendu à l’instant comme à une pensée.

Son regard fouille les écorces,

son bec cherche la vie cachée.

Dans ce geste simple,

il nous rappelle que la nature n’a pas de sens unique,

et que parfois, c’est en changeant de perspective

que l’on découvre l’essentiel.

Il ne fait qu’un avec l’écorce,

prêt à bondir, à disparaître dans le souffle du vent.

Son regard est vif, son corps tendu,

comme une promesse d’envol.

On capture l’instant fragile

où l’immobilité devient mouvement,

où la nature, même figée, respire encore.

Il est là, discret messager des jours clairs,

posé sur une branche en fête,

entre les pétales et les promesses.

Le bleu de ses ailes caresse le jaune du soleil,

et chaque fleur semble s’ouvrir à son chant.

Cela célèbre le retour de la vie,

la danse fragile entre l’oiseau et la floraison,

comme un souffle doux sur le monde qui s’éveille.

Entre ciel et feuillage,

il tient l’instant dans ses plumes.

Bleu comme l’ombre des rivières,

vert comme l’espoir des forêts,

jaune comme la lumière qui renaît.

Ce petit être fragile incarne l’harmonie,

celle que la nature nous enseigne

quand on prend le temps de la regarder.

Il veille, immobile et discret,

sur deux fleurs ouvertes comme des secrets.

Sa tête sombre contraste avec la lumière,

comme l’ombre qui révèle la clarté.

C'est une pause,

un souffle suspendu entre le chant et le silence,

une invitation à contempler ce qui ne fait pas de bruit.

Il ne cherche pas à briller,

mais il éclaire le regard de ceux qui savent voir.

Perché sur sa branche fine,

il incarne la beauté simple,

celle qui ne crie pas mais qui touche.

C'est une invitation à ralentir,

à contempler les merveilles silencieuses

que la nature nous offre chaque jour.

Il est venu sans bruit,

un éclat de ciel posé sur une branche.

Dans le silence suspendu de l’aube,

il chante pour ceux qui écoutent encore.

Ses plumes racontent les saisons,

ses yeux reflètent l’éveil du monde.

C'est un hommage à ces vies discrètes

qui portent, sans le savoir, l’équilibre du vivant.

Au cœur des montagnes, là où le silence épouse les toits de pierre,

s’élève un clocher, gardien des heures et des âmes.

Les maisons s’agrippent aux pentes comme des souvenirs au passé,

et le vent, complice des cimes, murmure aux feuillages des contes oubliés.

C'est une ode à la paix des villages,

à la nature qui veille, et à l’humanité qui se souvient.

Alpes rhétiques occidentales, Grisons (Suisse)

Ardez, Basse-Engadine

Les toits blancs murmurent des histoires d’hiver,

les sapins veillent comme des sentinelles immobiles.

Le village dort,

enveloppé dans le souffle glacé des cimes.

Ici, le temps s’est arrêté,

pour laisser place à la paix,

à la beauté simple d’un monde qui respire doucement.

Elle veille sur les vallées,

comme une pensée haute et claire.

Les forêts s’étendent à ses pieds,

le lac lui offre ses reflets.

La lumière joue avec les nuages,

et le silence s’installe comme une évidence.

C'est une ode à l’équilibre,

entre roche et verdure,

entre altitude et profondeur.

Seul, il veille.

Un arbre nu, dressé face aux géants blancs.

La neige s’efface,

l’herbe hésite,

et le ciel s’ouvre comme une promesse.

C'est une méditation sur la solitude fertile,

sur la force tranquille de ce qui reste debout

quand tout autour se transforme.

Un pas de plus, et c’est le vide…

Sous les nuages, la terre s’étend, blessée mais encore belle.

Nous sommes tous ce voyageur, au bord du précipice,

hésitant entre la chute et le sursaut.

Préserver la nature, c’est reculer du bord,

c’est tendre la main à la vie avant qu’elle ne disparaisse dans la brume.

Sous ces cimes bleutées, la vallée respire encore… mais pour combien de temps ?

Chaque maison, chaque sentier, chaque souffle de vent porte la mémoire d’un monde fragile.

Préserver la nature, ce n’est pas un choix, c’est un serment :

sans elle, nous ne sommes qu’ombres sur une terre stérile.

C'est un cri silencieux contre l’oubli,

un appel à défendre ce qui nous fait vivre.

Là-haut, tout est plus clair, plus brut, plus vrai.

Les roches racontent l’érosion du temps,

les arbres résistent, enracinés dans le vide.

Les sommets veillent,

témoins muets d’un monde qui respire autrement.

C'est une élévation,

un hommage à la nature dans sa forme la plus pure.

Une cabane, seule face aux géants blancs.

Le vent glisse sans bruit,

la neige enveloppe chaque chose comme une caresse.

Ici, le monde ralentit,

et le cœur trouve refuge.

C'est une halte dans le tumulte,

un hommage à la paix que seule la nature sait offrir.

Il avance, seul face à l’immensité.

Chaque pas est une question,

chaque sommet une réponse.

La brume ne cache pas,

elle révèle ce que l’on porte en soi.

C'est une ascension intérieure,

un hommage à ceux qui marchent

pour mieux se retrouver.

Les chalets s’accrochent aux pentes,

comme des pensées douces dans le froid.

Les arbres se taisent sous leur manteau blanc,

et les montagnes veillent, immobiles et vastes.

C'est une invitation à l’intimité,

à la chaleur des refuges,

là où la nature offre son silence en partage.

Une cabane, un souffle chaud dans l’immensité blanche.

Les montagnes veillent,

les sapins murmurent des secrets gelés.

Ici, le silence est roi,

et chaque flocon est une bénédiction.

C'est un abri,

une promesse de paix au cœur de l’hiver.

Trois corps, une seule volonté.

Ils avancent, liés par la confiance,

dans le froid et le silence des cimes.

Chaque pas est une offrande,

chaque souffle un pacte avec la montagne.

C'est un hommage à l’effort partagé,

à la beauté rude des hauteurs,

et à la fraternité qui naît dans l’altitude.

Les toits s’inclinent sous la neige,

les sapins murmurent des contes anciens.

Le village dort,

blotti contre la montagne comme un enfant contre sa mère.

Ici, le temps ralentit,

et chaque flocon devient une promesse de silence.

C'st une halte,

un refuge dans l’immensité blanche,

où la nature veille et apaise.

Il se tient là,

entre les arbres et leur souvenir.

L’eau reflète ce que le ciel oublie,

et le héron devient gardien du passage.

Dans cette brume légère,

chaque branche semble rêver,

chaque reflet murmure une vérité douce.

C'est une respiration,

un instant suspendu entre deux mondes.

Il se tient là,

entre le feu du ciel et son écho liquide.

Le héron ne bouge pas,

il contemple le monde à l’envers.

Deux soleils, deux silences,

et un seul souffle.

Cette aquarelle est un miroir du temps,

un instant d’équilibre

où tout semble possible.

Il ne fait qu’un avec le paysage,

silhouette posée entre deux mondes.

L’eau reflète les arbres nus,

le ciel se dissout dans le silence.

Le héron attend,

non pas le moment,

mais l’éternité.

Cette aquarelle est un souffle suspendu,

une méditation sur la présence,

là où tout semble s’effacer.

Il ne bouge pas,

il attend que le monde respire.

Entouré de brume et de silence,

il est le trait d’union entre ciel et eau.

Son reflet ne tremble pas,

comme une vérité posée sur l’onde.

Cette aquarelle est une méditation,

une invitation à écouter ce que la nature murmure

quand elle croit qu’on ne l’écoute plus.

Ils ne fuient pas,

ils habitent le silence.

Entre les troncs nus et les reflets d’eau,

les cerfs avancent comme des ombres bienveillantes.

La brume les enveloppe,

le monde retient son souffle.

Cette aquarelle est une offrande à la forêt,

à sa sagesse ancienne,

et à la paix qu’elle murmure à ceux qui savent écouter.

Ils avancent sans bruit,

comme des esprits du Nord.

Leurs pas dessinent des silences,

leurs ombres prolongent la lumière.

Dans ce désert blanc,

ils sont la mémoire des forêts,

les gardiens d’un monde fragile

que le froid ne parvient pas à figer.